Des hectares et des hectares de blé mûr ont brûlé dans cette ferme de Tarente. On pense à une faute intentionnelle.
Il est sur le point de finir écrasé, sa mère le sauveLe rêve de cette petite ferme méridionale, qui met du temps et du dévouement, subit une nouvelle arrestation, au milieu des flammes et de la fumée. Et argent
"Cinq mois d'attente, cinq mois au cours desquels nous avons suivi notre blé au jour le jour, depuis qu'il n'était qu'une graine jusqu'à ce qu'il soit complètement mûr", commence ainsi le post douloureux d'Arreterra, la ferme biologique de Tarente, réalisée depuis le ténacité de Domenico Sellitti.
Cinq mois d'attente, cinq mois pendant lesquels nous avons suivi notre blé au jour le jour, puisque ce n'était qu'une graine...
Publié par Arreterra - Organic Farm le mardi 29 juin 2021
Une petite réalité culturale, une de celles qui font du bien à ces territoires trop souvent malmenés. ARRET dans le dialecte des Pouilles signifie à nouveau "retour à la terre" - explique Sellitti - avec une nouvelle conscience : le respect du passé. Le respect de la nature, par des méthodes écologiques, se traduit par des produits sains et naturels. Mais quelqu'un ne le respectait pas, lui et son travail. Tout a été détruit dans un feuqui - tu penses - est malveillant. Des dommages se sont produits dans le passé, mais jamais comme cette fois. Et en plus du dommage, l'insulte. Tout le système de gicleurs a brûlé. Et le caoutchouc, dont ces tuyaux sont faits, s'est propagé à de nombreux points du sol, rendant désormais la remise en état obligatoire.Tout cela s'est produit malgré le fait que notre terrain avait été travaillé, nettoyé et surtout bien isolé en cas d'incendies se développant sur le terrain adjacent. On ne sait encore rien sur la nature de l'incendie, mais Domenico - un peu plus de 40 ans - est prêt à parier qu'après cinq incendies en cinq ans, il doit y avoir quelque chose de malveillant. Mais il est également vrai que tout autour, dit Sellitti, beaucoup de voisins ne respectent pas les règles et les lois, laissant la terre inculte, et à partir de là, il en faut très peu pour propager un incendie. Cependant, nous savons que selon les pompiers, que nous remercions d'exister, bien que seulement 6 % des incendies soient d'origine criminelle, environ 70 % des incendies n'ont pas de cause avérée, et le pourcentage monte à 82 % dans les cas des bois et des terrains agricoles. Et après cinq incendies en cinq ans, on se pose des questions. Source : Arreterra Lire aussi:
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